“Ayiti, terre paradis ?”
Styven Mangurart
Palmier débout, l’arbre le plus significatif de notre terre. Perle des Antilles pour l’Occident, mais c’est le contraire de notre paix. La chaude Brise du nouveau monde a fait tomber les
feuilles de notre jardin de délices d’éden. Ayiti terre paradis, où la civilisation a portée autant
de peine. Gaine de la nature qui enveloppa cette terre prometteuse, s’estompait. L’ekleretisme
nous donne des mauvais égards à la main calleuse, de nos grands-pères. De paradis en enfer, conséquence de leurs décisions capricieuses. Sans penser Qu’un climat
d’une égalité paradisiaque y rend les repos faciles et les cultures délicieuses. Inégalité
d’antan n’a pas épurée la beauté de cet Ayiti. Et de jour en nuit, on regarde décupler nos
ennuis. Sans rien y faire pour éradiquer le besoin maladif de quitter le pays. Ayiti était une fois
terre paradis ?Demandons ça aux natifs. Il y a si longtemps, si lointain venaient des porteurs d’ombre. Pour éclairer la bonne noirceur
de cette terre, cette signe trinitaire, planté de haut l’a rendu sombre. À cet époque
L’asservissement et l’inhumanité ont fait une bonne paire. Qui a rendu Le paradis submergé
dans l’abysse arbitraire, dans le creux d’amertume se noya nos palais du bon goût. Le
scepticisme de nos esprits nous a fait douté de nos humanités mou. Tout le bien-être de cette terre, a noyé dans le déluge des petits rien, rien ne pourrait pas
passer bien dans ses coins et recoins, tant qu’on ne met pas en évidence le sentiment
d’humain. Ayiti, terre paradis !!! N’est que le passé, sans présent ni future, un passé
antérieurement oublié tout en ignorant notre culture. Ayiti, terre paradis ne veux pas dire là où
le bonheur se régnait ou où tout allait bien, mais c’était là le courage, et le bravoure ont
prisent naissance, et c’est là la traite d’humain a pris fin. Ayiti, terre paradis, littéralement terre de la liberté. Nos ancêtres a accomplis de grandes
choses, comme offrir de la liberté tout ceux qui ne se sentaient pas libre peu importe d’où
ils y étaient. Ayiti, terre paradis. La terre qui nous a appris que la noirceur est aussi une fierté. C’est une gaieté à chromo- ,( Ayiti, terre paradis) c’est ça notre clarté, pour continuer d’espérer
sur le sombre chemin de cette belle terre
