Coupe du Monde des Clubs : Le Paris Saint Germain pulvérise le Real Madrid et  fonce vers la gloire

Coupe du Monde des Clubs : Le Paris Saint Germain pulvérise le Real Madrid et fonce vers la gloire

Ce n’était pas un simple choc entre deux géants du football européen. C’était une démonstration. Un acte d’autorité. En l’espace de 25 minutes, le Paris Saint-Germain a fait voler en éclats les ambitions du Real Madrid, infligeant au club espagnol l’une de ses plus cuisantes humiliations récentes. Score final : 4-0, mais plus encore, un message clair envoyé au monde du football. Le PSG n’est pas seulement en finale : il semble inarrêtable.

⚡ Une entame tonitruante : Paris étouffe le Real

On attendait un match tendu, disputé. On a assisté à une leçon. Dès les premières secondes, les Parisiens ont pris le contrôle total du jeu, transformant l’antre du match en théâtre de leur supériorité. Luis Enrique avait exigé de l’intensité ? Ses joueurs ont livré une partition sans faute.

À la 6e minute, Dembélé, agressif dans le pressing, récupérait le ballon dans les pieds d’Asensio. En deux passes, Fabian Ruiz armait une frappe croisée qui trompait Courtois. Paris menait 1-0. Trois minutes plus tard, le même Dembélé jaillissait pour subtiliser le ballon à Rüdiger et doublait la mise d’un plat du pied limpide. Et comme si cela ne suffisait pas, à la 24e minute, Ruiz s’offrait un doublé sur un service millimétré d’Hakimi. 3-0. En moins d’une demi-heure, le Real était désarmé, dépassé, impuissant.

🎯 Une performance collective de haut vol

Ousmane Dembélé a été partout. Dynamiteur en chef, il a mis au supplice une défense madrilène pourtant expérimentée. Dans son sillage, Fabian Ruiz a brillé par sa lucidité, son volume de jeu et sa finition impeccable. Mais au-delà des individualités, c’est le bloc parisien qui impressionne : agressif sans être désorganisé, intelligent dans la gestion des temps forts, et solidaire dans les replis défensifs.

Côté madrilène, le constat est alarmant. Mbappé, fantomatique, n’a jamais pesé. Bellingham, Güler ou Valverde n’ont pas réussi à trouver la moindre faille. Et dans une soirée où rien ne fonctionnait, le Real n’a cadré que trop peu pour espérer renverser quoi que ce soit.

🧠 Gestion maîtrisée et profondeur de banc

En seconde période, Paris a baissé le rythme, mais sans jamais perdre la main. Luis Enrique a intelligemment préservé ses cadres, offrant du temps de jeu à Ramos, Barcola, Zaïre-Emery et Mayulu. Le Real, en quête d’orgueil, a timidement tenté de réagir. En vain. La charnière Marquinhos-Beraldo a tenu la baraque, et même sans Pacho (suspendu), la défense n’a jamais vacillé. C’est toute la discipline collective qui force le respect.

Et comme pour sceller cette soirée mémorable, Gonçalo Ramos, entré en jeu à la 73e minute, venait inscrire un quatrième but en contre, parfaitement lancé par Barcola. Une conclusion nette, implacable, qui résume bien l’état d’esprit de cette équipe : rigoureuse, tranchante, affamée.

🏆 Paris en finale, avec la manière

Éliminer le Bayern. Humilier le Real. Le parcours du PSG dans cette Coupe du monde des clubs est plus qu’impressionnant : il est historique. L’équipe de Luis Enrique avance avec la régularité d’un rouleau compresseur. Une finale face à Chelsea les attend ce dimanche. Mais à ce stade, le doute n’a plus sa place : Paris est l’équipe à battre. Et peut-être, tout simplement, la meilleure équipe du monde actuellement.

Roody Alphonse

http://telemix.tv

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